Il faut forcer le destin
La roue du temps tourne et nous rappelle sans cesse.
Que les nations qui dorent sont le fruit de leur faiblesse.
Que la nation qui se soulève provoque des éclairs,
Et que la nation qui dort mérite ses leaders.
Les étoiles du destin brillent au firmament,
Guidant nos pas à travers vents contraires souvent.
Les rêves des peuples, sources d’espoir et de vie,
Tissent l’histoire en une toile où chacun s’y lie.
Les leçons du passé éclairent notre route,
Les erreurs d’autrefois, qu’on ne saurait écouter en doute.
Surgissent comme des phares dans l’obscurité,
Pour éviter les écueils et préserver la vérité.
Dans le tumulte des jours, émerge une voix sage,
Qui rappelle que l’unité transcende les clivages.
Les différences qui colorent notre humanité,
Sont des forces, non des faiblesses, à célébrer.
Ainsi, le temps nous guide avec son doux balancement,
Chaque instant offert est un précieux fragment.
Que nos actions éveillent le meilleur en nous,
Et que nos choix éclairent le chemin vers des jours plus doux.
Les saisons passent, laissant leur empreinte dans le sol,
Témoins silencieux des cycles qui guident nos rôles.
Les roses éclosent, puis se fanent en douceur,
Comme les passions qui naissent, puis prennent une autre couleur.
Les voix des ancêtres résonnent dans le vent,
Portant avec elles la sagesse d’un temps anciennement vivant.
Le courage de se lever face aux vents contraires,
Forgeant des âmes fortes, prêtes à tout refaire.
La lueur de l’aube perce les ténèbres avec grâce,
Comme l’espoir émergeant des cœurs qui tracent.
Les chemins incertains de l’avenir qui se dessine,
Chacun y contribue, tissant une toile divine.
Alors que le présent se mêle au passé et au futur,
Rappelons-nous que chaque instant est un trésor pur.
Le temps continue de tourner, un éternel refrain,
Et c’est à nous de décider quel chemin prendre, main dans la main.
Les saisons passent, mais il est temps de briser les chaînes,
De défier le destin qui nous tient dans ses peines.
Les roses fanées peuvent renaître en splendeur,
Tout comme nos rêves, libérés de leur torpeur.
Les voix des ancêtres murmurent dans nos cœurs,
Un appel à l’action, à mettre fin à nos malheurs.
Le courage de se lever contre les vents contraires,
Nous guide vers des lendemains où rien n’est austère.
La lueur de l’aube porte en elle la promesse,
Que nous pouvons façonner un monde où la peur cesse.
Les chemins incertains de l’avenir, nous les tracerons,
À travers la révolte, où nos voix s’entremêleront.
Maintenant est venu le temps de nous élever,
De rejeter les chaînes et d’oser tout révéler.
Unissons nos forces pour créer un nouveau matin,
Où la révolte transforme l’obscurité en un éclat divin.
La roue du temps tourne et nous rappelle sans cesse.
Que les nations qui dorent sont le fruit de leur faiblesse.
Que la nation qui se soulève provoque des éclairs,
Et que la nation qui dort mérite ses leaders.
Les éclats d’éveil traversent les cieux enflammés,
Comme des étoiles de révolte dans la nuit enchaînée.
Les nations qui s’élèvent, unies par la colère,
Bravent les tempêtes pour un avenir solidaire.
Les leaders du passé, endormis dans l’oubli,
Cèdent la place à ceux qui osent et agissent ici.
Les rêves qui dormaient se transforment en feu ardent,
Guidant les pas des braves vers un monde plus grand.
Les chaînes qui entravent se brisent sous la force du vent,
L’espoir renaît, porté par un élan enivrant.
Les voix jadis étouffées s’élèvent en une symphonie,
Appelant au changement, à l’égalité, à la vie.
La révolte n’est pas chaos, mais une danse de lumière,
Une quête de justice où chacun peut prendre part, fier.
Alors que la roue du temps continue de tourner,
La révolte forge un nouveau destin à revendiquer.
Abdallah Rouhli
